préparation des cartes
10.01
réalisation de la fresque par nos camarades de classe et Mme Dubarry
12.01
12 janvier 2023
Morgane
Camille
Lya
Morgane
Synthèse de notre volonté
Afin de saisir les enjeux et problèmes liés à la déforestation, et de les partager avec nos camarades, nous avons réalisé une fresque. Cette manière de faire permet une meilleure compréhension du sujet et une acquisition plus simple et rapide : les visiteurs / acteurs (ici : nos camarades) créent leur propre fresque, selon leurs visions, leurs a prioris, leurs croyances et leurs connaissances, simplement en mettant en relation des bouts de papiers préalablement réalisés par notre équipe et sur lesquels sont marqués données, définitions, mots et bouts de phrases.

Si on analyse la fresque dans le détail, on constate 5 types de papiers / données :
- les feuilles de couleur blanche, qui répondent à la question « quelles sont les activités humaines en lien avec notre question (au sens large et en lien avec la chaine du livre) ? »
- les feuilles de couleur jaune, répondant à « quels sont les effets écologiques de ces activités (chiffres et sources) ? »
- les feuilles de couleur rose, pour la question « qu’est-ce que cela change dans la nature ? »
- les feuilles de couleur orange, pour « qu’est ce que cela change dans la société ? »
- les feuilles de couleur verte, pour « quels seraient les leviers pour limiter les impacts ? »
Notre vision de la fresque :
Nous avions pensé la fresque de la déforestation comme un tableau à deux colonnes, séparant ainsi les informations en deux catégories par rapport aux activités économiques et aux activités éditoriales. A partir de là nous répartissions les données selon ce tableau, jugeant ce qui rentrait ou n’entrait pas dans telle ou telle colonne. Évidemment la classification, pour qu’elle soit complète, est plus compliquée car des liens et interdépendances entre différentes informations existent. Pour en rendre compte nous avons fait se chevaucher certains papiers dans les deux colonnes et d’autres se recouper entre-eux.
Nous déroulions ainsi notre fresque, jusqu’à arriver aux leviers et solutions. Il n’existe pas de fresque qui soit absolument correcte et juste, il y a différentes façons de la réaliser. C’est pourquoi nous avons ensuite observé nos camarades réaliser la nôtre (en les corrigeant à la fin si des « bêtises » étaient commises), nous apportant ainsi des détails et réflexions auxquelles nous n’avions pas pensé et permettant de nourrir un peu plus le sujet.